Quel beau spectacle que de voir réunis sur une même scène de grands noms de la musique cap-verdienne, comme Cesaria Evora, Teofilo Chantre ou encore Lutchinha ! Cet événement, suffisamment rare pour être noté, a eu lieu le 7 mars dernier, dans le cadre des manifestations culturelles liées à la journée de la femme, organisées par la mairie du 11ème arrondissement en partenariat avec l'association CHEDA, Crianças de Hoje e de Amanhã.
Vue de l'extérieur : La salle Olympe de Gouges (Paris 11ème) a été littéralement prise d'assaut, et des dizaines de personnes ont dû patienter devant les portes de la salle avant qu'on ne leur signifie que, pour des raisons de sécurité, il ne leur serait pas possible d'assister au concert. Cela a déclenché un vif tollé, qui a failli conduire à une foire d'empoigne ! C'est à de telles scènes que l'on peut mesurer la popularité de ces artistes auprès de la population !
A l'intérieur : une ambiance follement festive, avec un public ouvert et complice, et une musique rythmée, invitant à la danse.
Après la prestation de quelques jeunes voix du zouk - Netos de Cabral, paraît-il - les musiciens qui accompagnent habituellement Cesaria Evora ont pris place sur scène. Changement d'ambiance : arrive alors Lutchinha, qui à travers ses coladeras communique toute son énergie au public, puis Teofilo Chantre, et enfin Cesaria Evora, pour quelques mornas et coladeras de son répertoire.
Pendant ces deux heures, le public s'est trouvé transporté au coeur du Cap-Vert!
Vue de l'extérieur : La salle Olympe de Gouges (Paris 11ème) a été littéralement prise d'assaut, et des dizaines de personnes ont dû patienter devant les portes de la salle avant qu'on ne leur signifie que, pour des raisons de sécurité, il ne leur serait pas possible d'assister au concert. Cela a déclenché un vif tollé, qui a failli conduire à une foire d'empoigne ! C'est à de telles scènes que l'on peut mesurer la popularité de ces artistes auprès de la population !
A l'intérieur : une ambiance follement festive, avec un public ouvert et complice, et une musique rythmée, invitant à la danse.
Après la prestation de quelques jeunes voix du zouk - Netos de Cabral, paraît-il - les musiciens qui accompagnent habituellement Cesaria Evora ont pris place sur scène. Changement d'ambiance : arrive alors Lutchinha, qui à travers ses coladeras communique toute son énergie au public, puis Teofilo Chantre, et enfin Cesaria Evora, pour quelques mornas et coladeras de son répertoire.
Pendant ces deux heures, le public s'est trouvé transporté au coeur du Cap-Vert!
Une semaine plus tard, Cesaria Evora donnait un nouveau spectacle, à Sceaux cette fois-ci, avant de s'envoler pour Budapest et poursuivre sa tournée en Europe de l'Est...
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